Divergente



Dans le Chicago dystopique de Béatrice, la société est divisée en cinq factions, chacune dédiée à la culture d'une vertu : les Sincères, les Altruistes, les Audacieux, les Fraternels, et les Erudits. Sur un jour désigné de chaque année, tous les adolescents âgés de seize ans doivent choisir la faction à laquelle ils consacreront le reste de leur vie. Pour Béatrice, la décision est entre rester avec sa famille et être qui elle est, les deux sont incompatibles. Alors, elle fait un choix qui surprend tout le monde, y compris elle-même.
Mais Tris a aussi un secret, celui qu'elle a caché à tout le monde parce qu'elle a été avertie qu'il peut signifier la mort. Et comme elle découvre un conflit croissant qui menace de percer cette société en apparence parfaite, elle apprend aussi que son secret pourrait l'aider à sauver ceux qu'elle aime. . . ou pourrait la détruire.
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Divergente
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Allégeance

Bon, le moment est arrivé, je crois que j’ai suffisamment la tête froide pour en parler. Après plusieurs années, il est temps de vous parler de cette trilogie qui fut ma plus grande déception de ce siècle, rien que ça oui.
Pour la petite histoire, j’ai commencé par le film et j’avais apprécié. L’histoire était sympa et intrigante et en me lançant dans le roman, je m’attendais à plus de développement, quelque chose de plus approfondi car dans le film, la question de la division en factions semblait survolé, aurait pu être plus poussée. Ce fut ma première déception : il n’y avait pas de réflexion plus poussée dans le roman, il n’y avait pas plus de description de l’univers, pourtant intéressant. Le livre n’apportait rien par rapport au film, ou en tout cas pas grand-chose. En apport, que pouvait-il y avoir alors ? De ce que je me souvienne, vraiment pas grand-chose, de même que dans les rares différences. Une en revanche qui m’a marqué fut les peurs de Quatre. Dans le film, il n’en avait que quatre, mais il se maitrisait, ses peurs ne le contrôlaient pas et on comprenait vite comment il avait pu être premier de sa promo. Dans le roman en revanche, je n’ai pas compris : sans Tris il aurait été incapable de les surmonter, comment alors a-t-il pu être premier de sa promo ? Ce fut la première incohérence de la trilogie, mais pas la dernière, le troisième tome notamment en regorge et cela n’a pas aidé à me faire apprécier la saga.
Déjà, j’étais mal partie pour aimer le livre, mais ce n’était pas la goutte de trop, d’autres romans ont des incohérences et ne sont pas autant développé qu’ils pourraient l’être, je ne les déteste pas pour autant.
Un autre point qui ne m’a pas aidé, mais que j’ai tout de même surmonté trois tomes pour terminer la série, fut le style et surtout, le point de vue à la première personne. C’est le genre de livre qui me rend allergique au « je ». Franchement, dans un univers aussi passionnant qu’un monde divisé en factions et d’une guerre en montée, pourquoi ne se concentrer que sur Tris ? Dès le premier livre, je sentais que ce n’étais pas un point de vu adapté, mais qu’est ce que j’ai ri arrivée au dernier tome, quand le point de vue de Quatre est entré en jeu. Cela voulait tout dire !

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